djellaba marocaine homme
Le mot Djellaba/Jellaba désigne en arabe maghrébin djellaba et très traditionelle au maroc surtous pour les fete les mariges les prier du vendredi
faite d’un tissu fin de laine ou d’une étoffe
industrielle, généralement de couleur blanche ou claire et se porte
sous le burnous. La djellaba ou qeššabiya rurale est au contraire un
vêtement de dessus qui remplace souvent le burnous mais elle n’en a
jamais l’ampleur. C’est une sorte de sac, tissé d’une seule pièce avec
son capuchon et ses manches qui ne sont pas reportés. La djellaba est
ouverte par devant mais des coutures interrompues de place en place et
décorées de passementerie et de pompons, assurent l’ajustement du
vêtement. Le tissu est épais, en laine ou en poils de chèvre, de couleur
variée : rousse, brune et même noire ; le plus souvent des rayures brun
foncé se détachent sur un fond plus clair. Le capuchon est le plus
souvent rabattu sur le dos et peut servir de poche dans laquelle le
fellah ou le berger démuni de sacoche peut transporter son frugal repas.
Les manches, qui elles aussi sont tissées en continuité avec le reste
du vêtement, sont très courtes mais des fentes aménagées au-dessous
d’elles permettent le passage des avant-bras
La longueur de la djellaba est sujette à une grande variation. Chez les
Rifains de l’est, elle est particulièrement courte ; largement fendue
par devant et maintenue par une ceinture elle ressemble à une veste. Le
plus souvent la djellaba s’arrête à mi-mollet et présente des fentes sur
le côté ; celles-ci sont indispensables lorsque le vêtement descend,
comme dans le costume citadin, jusqu’aux pieds
l 'ancienne djellaba
dejellaba aujourd’hui
simpliste
fierté
modernité
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