mardi 6 janvier 2015

djellaba marocaine homme

djellaba marocaine homme

    Le mot Djellaba/Jellaba désigne en arabe maghrébin djellaba et très  traditionelle au maroc surtous pour les fete les mariges les prier du vendredi

faite d’un tissu fin de laine ou d’une étoffe industrielle, généralement de couleur blanche ou claire et se porte sous le burnous. La djellaba ou qeššabiya rurale est au contraire un vêtement de dessus qui remplace souvent le burnous mais elle n’en a jamais l’ampleur. C’est une sorte de sac, tissé d’une seule pièce avec son capuchon et ses manches qui ne sont pas reportés. La djellaba est ouverte par devant mais des coutures interrompues de place en place et décorées de passementerie et de pompons, assurent l’ajustement du vêtement. Le tissu est épais, en laine ou en poils de chèvre, de couleur variée : rousse, brune et même noire ; le plus souvent des rayures brun foncé se détachent sur un fond plus clair. Le capuchon est le plus souvent rabattu sur le dos et peut servir de poche dans laquelle le fellah ou le berger démuni de sacoche peut transporter son frugal repas. Les manches, qui elles aussi sont tissées en continuité avec le reste du vêtement, sont très courtes mais des fentes aménagées au-dessous d’elles permettent le passage des avant-bras

La longueur de la djellaba est sujette à une grande variation. Chez les Rifains de l’est, elle est particulièrement courte ; largement fendue par devant et maintenue par une ceinture elle ressemble à une veste. Le plus souvent la djellaba s’arrête à mi-mollet et présente des fentes sur le côté ; celles-ci sont indispensables lorsque le vêtement descend, comme dans le costume citadin, jusqu’aux pieds

 l 'ancienne djellaba





dejellaba aujourd’hui







simpliste
 fierté

modernité








Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire